Dans les zones arides devenues semi-désertiques, l’oasis peut-elle devenir le point d’ancrage d’une nouvelle organisation pastorale ? Dans l’histoire, les palmeraies ne se sont pas étendues vers le sud, pourtant les ressources en eau bien exploitées auraient permis l’installation de palmiers adaptés aux conditions sahéliennes, et la maîtrise de l’irrigation aurait permis d’y associer une agriculture oasienne de type maraîchage, céréales et élevage.