La sécheresse est reconnue par la Convention des Nations Unies sur la Lutte Contre la Désertification comme « la plus complexe et la plus grave des catastrophes météorologiques ». C’est un phénomène qui touche toute les régions du monde, et face auquel des politiques d’anticipation, d’adaptation et d’atténuation des effets peinent à être mises en place.
Le CARI travaille à comprendre comment la transition agroécologique peut permettre une meilleure résilience des territoires face aux aléas de la sécheresse. Cette note de synthèse est tirée de l’analyse des effets de l’agroécologie, mutualisant des résultats d’évaluations réalisées avec les outils de la FAO (TAPE), du projet AVACLIM et du Groupe de travail sur les Transitions agroécologiques (GTAE).
La note de synthèse met en évidence que :
Étant donné que l’exposition à la sécheresse est inévitable et peu prévisible, la note de synthèse montre donc que la transition agroécologique est une piste prometteuse pour réduire la vulnérabilité des systèmes agricoles.
Cette synthèse est tirée du mémoire de Baptiste de Crespin de Billy en stage au CARI de Février à août 2023. Le titre original du mémoire est «Agroecology to Reduce Drought Risk for Agricultural Systems in the Saharan Rim Region: Insights from Grey Literature provided by Three Agroecology Assessment Tools» (non traduit).